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Cela faisait des baux que les Sparteens ne mettaient pas les pieds sur une scène et c’est grace à vous que ce rêve s’est réalisé la fin de semaine dernière au Gaztetxe d’Ostibarre. Nous tenons à remercier vivement tous ces jeunes qui ont cru à la pérénité de notre talent et celui d’autres aînés tels que Jimi Arabit.

Aux risques d’oublier des gens bien malgré nous (halala, les petites misères de l’âge), nous allons tout de même remercier chaleureusement Arantxa, tout les danseurs ( Laida, Jenofa, Iñaki, le Capitaine Douglas (l’autre frère Douglas), Karoline, Mañolo… ), Ximun et son accolite pour leurs nerfs d’acier, Txomin, Franck Lopepe pour cet instant… hum… spécial… mais sur tout, et je dis bien sur tout, Nora, pour son excellent travaille, dans l’urgence, de speakerine.. un gros muxu !

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Ça y est, il arrive enfin ! Le deuxième single de la saga « Grandes Exitos del Ayer » paraitra dans les points de vente habituels Vendredi 7 Novembre pour cette merveilleuse fête irlandaise qu’est Halloween. Une occasion pour se remémorer ces … Continuer la lecture →

Leurs visages ont retrouvé la fraîcheur de l’époque qu’ils ont enflammée. Derrière leur sérénité, forgée par ce temps qui octroie aux âmes pures une sagesse enviable, se cache une irrésistible excitation, presque enfantine. C’est un doux lundi d’été 2008. Non loin de là, la mer murmure des mots salés aux falaises Hendayaises. Maribel et Douglas Nightingale préparent, comme à leur habitude depuis quelques décennies, un petit déjeuner riche en fibres et pauvre en calories. Mais cette fois c’est différent. Ils guettent l’arrivée de deux de leurs anciens collègues des Sparteens. Dans le studio, qui se trouve dans les dépendances de leur luxueuse villa, tout est prêt. Amplis guitares, micros, batterie, triangles et xylophones semblent être restés immobiles, dans l’attente de cet instant magique : ce grand moment de retrouvailles.
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En pleine crise du marché du disque, les labels rivalisent d’astuce et de nouvelles méthodes de
vente. Dernier exemple en date, les éditions Usaina Rds relancent depuis le 12 octobre une formule
qui a connu ses heures de gloire dans les 60’s : le «single». Et alors que certains boudent les grandes
surfaces pour diffuser leur album dans les librairies, Usaina Rds a choisi de vendre ses productions
dans les club rock et les bars branchés.
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